Anniversaire (PV : Kaito)

- Jessie... Même si tu as été élevée ainsi tu n'en reste pas moins une fille. Tu préfère sortir avec une fille seulement pour honorer ta famille mais... Est-ce vraiment ce que tu souhaite ? Tu n'es pas obligée de faire cela pour ta famille ! Écoute simplement ton coeur, c'est à toi de choisir ta voie !

Je ne pouvais pas résister. J'avais envie d'elle, cette envie était incontrôlable. Je l'embrassai avec fougue tout en la poussant sur mon lit. Je l'embrassais fougueusement et langoureusement. Je retirai la veste de son uniforme puis je retirai sa chemise. Je lui retirai son pantalon puisqu'elle avait l'uniforme masculin. Je la contemplais en sous vêtement. Je la regardais ensuite dans les yeux.

- J'ai tellement envie de toi. Tu me rends fou. Je ne peux me contenir plus longtemps !

Je fis ballader mes mains le long de son corps. Je léchai son ventre. Je retirai ma chemise. Je retirai son soutien gorge avec mes dents. Je lui tenais les mains. Je pris ensuite ses deux mains dans une main puis je retirais sa culotte. J'étais allé plus loin que la dernière fois. Je la regardais de haut en bas.

- Ce corps... Un délice pour les yeux...

Je léchais un de ses seins et je caressai le deuxième. J'aimais tellement la toucher. Je l'embrassai à nouveau.

Non ! Que fait-il ?! Tous mes membres tremblent ! J'ai si peur !! Ma voix s'étouffe dans ma gorge. Je n'arrive plus à parler. Plus à articuler ! Je me mis à fermer les yeux très fort, comme si en faisant cela il arrêterait ! La seule chose que j'arrivai à bégayer, c'était :

- Je-je t'en prie, arrête ! Je ne suis pas prête...

Je gloussai et tournai la tête sur le côté. Je ne pouvais même pas pleurer, je n'y arrivai pas. Face à lui, je me sens tellement impuissante. Mon coeur était comme un ballon trop gonflé, un ballon qui allait faire la rencontre d'une aiguille. Ce dernier était sur le point d'éclater. Éclater en mille morceaux. Les hommes sont tous si cruels ? L'homme qui se trouve en face de moi n'est pas celui qui j'aime... Je l'aime, c'est vrai ! Je redressai mon buste et posai mes lèvres sur les siennes. Un baiser doux, délicat et timide.

Je fus surpris par sa réaction. Elle avait beau me demander d'arrêter, je ne pouvais. C'était comme si mon corps bougeait tout seul. Je laissai ses lèvres contre les miennes. Je retirai mon pantalon et mon caleçon. Je pris un préservatif et l'allongeai correctement. Je retirai mes lèvres des siennes.

- Je suis désolé, cela risque d'être douloureux, surtout si c'est ta première fois...

Je la pénétrai doucement et fis de doux vas et viens pour ne pas la brusquer. J'accélérai un peu.
Je l'embrassai pour camoufler ses cris si elle avait trop mal. Je caressai son corps, ses seins.
Je retirai mes lèvres des siennes. Je descendis mon visage au niveau de sa poitrine, je suçai et mordillai son téton droit. Je pinçais légèrement l'autre. Elle allait sûrement m'en vouloir...
Je ne savais pour qu'elle raison mais je n'arrivais pas à m'arrêter, j'en avais trop envie.
J'accélérais de plus en plus le mouvement, ma respiration devenait saccadée.

- Je t'aime tellement ! Han..

J'avais horriblement envie de crier mais encore une fois, je n'y arrivai pas !! Néanmoins, je ne pouvais contenir encore plus longtemps mes larmes. Ces dernières coulaient abondement, sans une seconde de répit. Kaito retirai finalement ses lèvres des miennes et à partir de ce moment, je laissai malencontreusement échapper des gémissements et des petits cris jouissifs. Je me mordillai les lèvres pour arrêter d’émettre ces cris. Il était trop tard. Il m'avait prit ce que je tenais précieusement. J'essayai tant bien que mal de marmonner des petits bouts de phrases.

- S'il te plait. Ha ~ K-Kaito. Arrê-arrête.

"Je t'aime tellement !" Ces mots. Je ne pouvais résister à ces mots ! Je suis terrifiée. Pourtant, je l'aime et je dois l'ennuyer. Je ne suis pas prête, je n'étais pas prête !! Mais... J'ouvris timidement un oeil. Mon organisme avait l'air d'apprécier ces mouvements de vas et viens... D'un côté, j'appréciai et de l'autre, je détestai ça à en mourir ! Je refermai les yeux. J'avais comme un noeud dans l'estomac. Je semblai dégoûté et le stresse n'arrangeait rien !

- T-t-tu peux con-continuer et même aller... Han ~ plus loin...

Je ne réalisai presque pas que j'avais dis ça. Je dois faire des efforts pour lui... Mes lèvres étaient infiniment rouges à force de les mordre. Je laissa un cris sortir de ma bouche. Un cris de douleur mais aussi de plaisir. Après avoir hésité un long moment, je me décidai enfin à caresser son torse de manière timide. Je n'osai pas le regarder en face, mon visage était d'un rouge intense.

Elle me demanda d'arrêter mais je ne le pouvais. Ensuite je fus surpris qu'elle m'autorise à continuer.
Sentir son corps nu si chaud contre le mien me faisait terriblement plaisir. Je sentis ses mains me caresser timidement, cela me faisait plaisir. J'accélérai beaucoup plus, on aurait presque dit un professionnel. Ma respiration était saccadée. Je léchai son corps. Je retirai mon entre jambe de son intimité. Je m'emparai de ses lèvres doucement. Je lui offris un doux baiser et un regard tendre.

- Ne sois pas si timide, ose. Amuse-toi avec mon corps si tu en as envie. Si tu veux essayer des choses tu le peux. J'espère que... tu aimes cela même si c'est avec moi et que je suis un idiot. *léger ricanement*

Je descendis ma tête au niveau de son intimité. Je léchai son entre jambe délicatement et y passai deux doigts. Tout en faisant cela je la regardai. Je me relevai et je caressai son entre jambe avec le mien jusqu'à la pénétrer à nouveau. Je n'y allais pas de main morte. J'allais vite directement.
je pris levai sa tête vers moi pour l'obliger à me regarder. Je m'emparai de ses lèvres si délicates.
Je gémis, et pas qu'un peu. Je mordis ses tétons et assez fortement. Mon entre jambe était on va dire une poutre, elle devait sûrement le sentir. Je ne m'arrêtai pas, je voulais l'entendre jouir et crier, je suis sûrement un peu sadique mais j'aime cela. Cela m'encourage à aller plus vite et plus fortement.

- Tu aimes ?

Je l'embrassai, je laissai nos deux langues se rencontrer.

"Ne sois pas si timide, ose. Amuse-toi avec mon corps si tu en as envie. Si tu veux essayer des choses tu le peux. J'espère que... tu aimes cela même si c'est avec moi et que je suis un idiot." Jamais, je n'oserais. J'ai si peur. J'arrive à peine à bouger un muscle. Ma respiration est saccadée, aussi à cause du stresse.

- Tu n'es pas un idiot. C'est moi, l'idiote depuis le début... De plus, tu dois t'ennuyer avec moi. Je ne suis pas jolie et pas du tout sexy. Je suis plate comme une planche à pain... Dis Kaito, je crois que j-

Je n'eu pas le temps de terminer ma phrase que Kaito se mit à lécher mon intimité. J'émis un petit gémissement tout mignon mais je ne perdis pas de temps à mettre mes mains devant ma bouche. J'avais énormément honte. Me retrouver nue face à lui ? Moi qui suis très pudique ! Je cambrai le dos au contact de son sexe contre le mien et il me l'enfonça finalement un nouvelle fois dans le vagin. Il n'avait pas été doux et il me l'avait fait sentir ! J'hurlai de douleur. Il avait l'air d'aimer me faire mal mais je ne lui en voulais pas. Je l'aimais, c'était sûr ! Cet idiot, ce monstre... je l'aime intensément. Il peut me faire souffrir, je m'en fiche. Il peut me haïr, ça m'est égal. Au moins, de cette façon, je saurai qu'il ressent quelque chose à mon égard, je saurai que je ne suis pas totalement invisible de son point de vue. Je fus arrêter dans mes réflexions à cause de la douleur atroce. D'autant plus que je ne peux pas mentir en disant que celle de Kaito est petite ! Vu la douleur que je ressens à chaque mouvement. Je pense qu'il faudrait lui inventer un mot, encore plus exceptionnelle que "énorme" !
J'avais tellement mal que je ne pouvais retenir mes gémissement, mes cris :

- HAN ~ JE T'AIME K-KAITO

Pris dans mon élan infini, je le fis basculer en arrière, encore allongé sur le lit. Je me trouvais au dessus de lui, assise sur son bassin. Sa "poutre" toujours au même endroit ! Je cambrai le dos, faisant ressortir ma toute petite poitrine ! Les yeux fermés, je continuai à jouir. J'avais si chaud, des gouttes de sueur ruisselaient le long de mon visage. J'approchai ce dernier du torse de Kaito. Il pouvait sentir ma respiration brûlante. J'hésita quelques secondes puis je léchai son torse coquinement mais toujours aussi réservé. De cette manière, je l’excitais encore plus mais je ne réfléchissais presque plus !