Petite discussion

*je la lâcha*
Je sentis l'odeur du sang de Yuki il fallait que je me depêche.

- fait ce qu'il te plaira je te laisse aux mains du directeur.

*je me dirigeai vers la porte et me retournai*

- Au premier acte de vampirisme envers un humain ton sort sera scellé.

Et sur ce je partis.

- Alors je mordrais quelqu'un pour pouvoir mourir ! Et si je m'en prenais à ta chère Yuki même si elle n'est pas humaine ?

Je le laissai partir. Je m'approchai de la porte, du fait qu'il était parti je voulais en profiter pour m'éclipser.

En fermant la porte j'entendi ses paroles.
* je rouvrit la porte brusquement*
- Essaye de t'en prendre ne serai ce qu'une fois a Yuki et je m'occuperait personellement de ton cas.

- J'aime avoir mal tu sais ! Je vais sans doute m'en prendre à elle ! Tu seras tellement énervé que tu voudra me tuer, donc je t'en prie. Sur ce je m'en vais, j'ai un cou à mordre. *rire sadique et provocateur*

Je m'apprêtais à sortir.

* je l'attrapa et la lança encore une fois sur le mur et partit*

Je n'avait plus rien a lui dire

Il m'avait envoyé super fort contre le mur ! Je me cognai violemment la tête et perdis connaissance.
Du sang sortait de ma bouche et il y en avait un peu sur le mur.

Environ 15 minutes venaient de s'écouler. J'ouvris les yeux doucement.
J'avais oublié tout ce qu'il venait de se passer. Je me redressai assez vite quand je vis le directeur.

- Ou est ce que je suis et que s'est-il passé ?

Je me souvenais vaguement de ce qu'il s'était passé.

Tout me revenait en tête. Je me relevai.

- Bon sur ce je vous laisse, je vais faire ma valise.

Je me dirigeai vers la sortie, j'avais mal à la tête.

- Qu'est ce que c'est ? C'est pour les vampires ? On dirait des médicaments et je n'aime pas utiliser des médicaments. Mais bon si c'est la seule condition pour que je puisse partir.

J'en pris une et l'avala. Je me mis à tousser, le gouter était horrible et apparemment je ne supportais pas ça.

Je continuais de tousser, je ne pouvais pas placer un mot. Il m'était difficile de respirer.
Il me fallait sûrement du vrai sang.

Je n'arrivais même pas à le boire moi même, c'était pathétique. Je me laissai tomber par terre sur les fesses en essayant de reprendre ma respiration normale mais je n'y arrivais pas.

J'essayais mais je n'y arrivais pas et quand j'essayais, c'était pire, j'avalais mal.
J'abandonnai, ça ne servait à rien c'était pire.

J'étais surprise de sa façon de faire. Je ne pouvais pas lui en vouloir, il m'avait sauvé.
Je me relevai.

- Je suis désolée et merci de m'avoir aidé. Je vais vous laisser tranquille.

Je sortis du bureau.